Rencontre de la meute [fini]

Une fois arrivé près de l'endroit ou notre meute ce rendait toujours pour les rendez-vous, je les voyais pour la première fois. Sam, bien sûr, toujours présents à l'endroit convenu, comme chef de notre groupe. Et puis deux personnes de plus : une jeune femme, dans les vingtième d'années, et un autre homme. La femme avait un visage rond et de beaux yeux qui se voyait bien au milieu de cette sombre forêt. Si j'aurais pu deviner rudement, j'aurais dit qu'elle est asiatique d'ascendance. L'autre personne, un homme, me semblait asiatique aussi. Il était beaucoup plus grand qu'elle - et pas dix centimètres, non, plutôt une quarantaine - et il était blond. Sa couleur d'yeux n'était pas visible de si loin. Pourtant, il avait l'air plutôt sympa, comme la jeune femme.

Je m'avançai sur le petit chemin étroit qui me menait plus près des jeunes gens niché ensemble autour d'un grand tronc d'arbre obscur et grand. Ce tronc d'arbre était placé au milieu d'une petite clairière. Les plus grands arbres à feuilles caduques, sont placé autour de notre place de réunion comme des gardiens de corps. Le matin, quand le soleil ce levait, ceci était une zone magnifique et majestueuse. Mais ce n'étais pas vraiment une place où tu voulais venir tout seule tard le soir, et c'était exactement pourquoi c'étais la meilleur place de réunion qu'on pouvait imaginer. Les humains avaient peur de s'y rendre. La nuit, la forêt de La Push n'était rien d'autre qu'un grand terrain de jeu pour nous, les loups-garou. Un grand terrain de jeu. Personne n'avait peur de se bleser, car la régénération que notre corps nous offrait en tant que loup-garou, servait à merveille.

Essayant de ne pas trébucher au dessus des longues racines, je me déplaçait vers le groupe. Là, cinq jeunes ou jeunes adultes ne disaient aucun mots, tout ce qu'ils faisaient, était s'observer en silence. Après quelques minutes, Sam a enfin ouvert sa bouche.

" Je vous présente Noah et Aspen Madden, frère et sœur, loups-garou. Ils seront vos amis et des aides pendant la lourde période que vous allez porter sur vos épaules. Bien sûr, cela vaut également inversée. "

J'ai donné un petit sourire vers la jeune femme avant de lancer mon regard de nouveau par terre. Les habits que je portais devenaient terriblement inconfortable et la chaleur jouait autour de mon corps.

" Et vous, " disait Sam envers mon frère et moi. " Je vous présente Boyd et Maelys Ching Ô, comme vous ils sont frère et sœur et loups-garou. "

Ching Ô. Oui, il me semblait bien être un nom asiatique ça. Je penchais ma tête et regardais avec une position encore incliné la figure de la fille. De plus loin elle avait encore l'air encore moins aimable qu'ici de près. Maintenant, je voyais clairement le ludique regard de ses yeux. Ami ou ennemi ? Oui, je me le demandais bien. J'étais prèsque plus grande qu'elle. Je la battais même pas d'un centimètre, je me disais. Noah avait vingt centimètre de plus que moi, mais l'homme a côté de la jeune femme, était vraiment énorme.

" Bienvenue. "

Le mot sortait bien plus vite que je ne l'ai voulu. Bienvenue ? Etait je complétement idiote, pourquoi bienvenue ? Je me le voyais bien dire. Bienvenue ici à La Push, la où serrez jusqu'à la fin de vos jours, obligé a tuer des autres créatures autres que vous-même. Et là où vous devriez marcher avec une malédiction que vous sentez traversé, jour après jour, au travers de vos veines. Oh, pourquoi ai-je besoin d'être si gentille avec tout le monde ? Pourquoi ne pouvais-je donc pas fermer ma grande g*ule ?

Je mordais sur ma lèvre jusqu'à ce que je sentes un peu de sang tiède, ou plutôt chaud, couler sur mon menton. Pas beaucoup, juste une petite goûte. Je me tournais vite et frottait le liquide de ma figure, esperant que personne ne faissait attention à ce que je venais de dire.

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Commentaires et aide pour améliorer le RPG :

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Le soleil avait du mal à passer à travers le grand groupe de nuages sombres qui s’étendait au-dessus de la forêt. De grosses racines noires, venant des grands arbres obscurs, salissaient mes vieilles ballerines. Mes jambes étaient couvertes de blessures des ronces et de taches. Nous allions enfin rencontrer les Mad-… Les Mad-quelque chose. Eux aussi étaient loups-garous comme mon frère et moi. Mon adorable frangin *quelle pipelette, je vous jure* papotait tranquillement avec le grand type *encore quelqu’un de plus grand que moi* qui s’appelait Sam.

" C’est ici que nous allons attendre les Madden. "

Dit Sam à mon frère, sans m’adresser le moindre regard (ce qui ne me dérangeait pas, au contraire). Mon frère affirma d’un hochement de tête tandis que j’observais le tronc obscur devant lequel mon regard était tombé. J’étais curieuse de voir leurs têtes.

Après avoir agrandi le trou dans ma chaussure et de longues minutes, j’aperçut deux sombres silhouettes.

" Ils arrivent ! "

C’était sorti plus tôt et plus fort que je ne pensais. Mon GRAND frère me lança un regard moqueur du genre « c’est quoi cette voix ?? ». Sam me regarda pour la première fois et lança son regard approuvant vers les vagues silhouettes que j’avais vue en murmurant un petit « C’est bien eux ». Les silhouettes se transformaient en deux personnes (encore plus grandes que moi). Derrière se tenait un type géant, et devant une jeune fille d’une quinzaine d’années qui fit bouger ses longs cheveux bruns en évitant maladroitement les racines comme je l’avais fait il y a quelques minutes. Une envie de rire surmonta mon visage. Je ne me moquait pas de la jeune fille, mais je m'imaginais moi-même tout à l'heure la tête que j'aurais eu quand j'ai failli tomber. Un sourire se dessina sur mon visage qui était devenu tout pâle quand je vit la vraie taille de son grand frère. Et non, le fond de teint ne m'aidait pas, j'en était sûr.

La timidité me surmonta. Mes joues étaient rouges, et si je n'étais pas louve-garou, je suis sûre que j'aurais eu froid et chaud en même temps... Je recommencai à agrandir le trou dans ma ballerine lorsque les deux jeunes gens s'approchaient. J'avais peur de sembler bête, de sembler pitoyable, car ce sont les impressions que j'ai quand je me regarde dans le miroir au fond de ma chambre.

Après quelques minutes et avoir observé la jeune fille très subtilement, Sam dit :

-Je vous présente Noah et Aspen Madden, frère et sœur, loups-garou. Ils seront vos amis et des aides pendant la lourde période que vous allez porter sur vos épaules. Bien sûr, cela vaut également inversée.

Maintenant il se tourna vers les Madden :

-Et vous, Je vous présente Boyd et Maelys Ching Ô, comme vous ils sont frère et sœur et loups-garou.

Après quelques moments, la fille murmura un petit

-Bienvenue.

J'essayai de grimaçer un sourire. Raté. Je me sentis encore plus incomfortable que d'habitude. Soudain, la fille se tourna pour ensuite se remettre rapidement à sa place initiale. Qu'est-ce qu'elle foutait? Mais ma timidité se rapella quand je sentis mes pieds bouger. Mes yeux se baissèrent et j'aperçus ses chaussures. Sans réfléchir, je sortit :

-J'aime bien tes chaussures!

Pi-toy-able. J'aurais pu sortir autre chose! Quelle idiote je faisais!

Commentaire prématuré :

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S’en était trop, je ne pouvais plus me retenir. Je commençais a rigoler comme une grande idiote. Mes all stars noir, n’étaient rien d’autre que des chaussures dont je pouvait sortir facilement quand j’avait besoin de ça. Car je n’étais pas beaucoup avec les restes de chaussures après de m’avoir transformé en loup. Je continuais a rigoler avec un rire si horrible, que j’en étais sure que au moins la moitié de la forêt était réveiller.

* Pourquoi elle rigole celle-là ? * Entendais-je passer dans ma tête. Pas littéralement, mais d'après ce que j'ai senti - et par l'expression sur son visage - je pouvais en être sure qu'il pensait cela. Noah, grand - on ne peut pas dire qu'il est petit - monstre ennuyeux...

Ce est encore le plus terrible fait dont je dois m’habituer. L'échange des pensées et d'émotions. Ce serait difficile de jamais pouvoir caché des trucs l’un pour l’autre, je me suis dit. Je mordais encore une fois le bord de ma lèvre, essayant de ne pas rigoler encore une fois et en voyant mon frère roulé avec ses yeux. Je lui ai tendu la langue en rapprochant mon pied envers sa longue jambe. Il me tourna vite le dos, évitant le coup de pied que je voulais lui donner, et commençait une conversation avec Sam et Boyd, le frère de Maelys. Il n'y avait rien d'autre pour moi que de lui parler aussi. Je pensais à quelle sujet je choisirais. Pas pour longtemps, bien sûr, car Noah traquait dans ma tête.

* Famille, l'origine, la raison pour laquelle elle est ici. * J’entendais passé. Exactement, oui, pas un moment de privé. Un moment pour moi tout seule. Pas seulement ça, mais je savais que Noah n'étais pas le seule a sentir mes problème et mes préoccupations, mais que Sam, Boyd et Maelys le sentaient aussi. J'ai soupiré en me rappelent que mes émotions étaient encore plus liées avec Noah, mon frère, reliée par notre sang.

Je voulais me tourner envers Noah et lui forcé de rester en dehors de ma tête quand j'ai aperçu que Maelys - six centimètres plus petit que moi – était entrains d’enraciner ses pieds emballer de ballerines dans la terre. La première chose que je me demandais, était comment elle pouvait mettre des ballerines. Même si elles n’étaient plus en très bonnes état, je ne me pouvais pas imaginer a les porté. Surtout pas dans les bois ! Mais deux secondes plus tard, je me réalisais que se n’était qu’un geste d’ennui. Je me suis dit qu'il était temps de mettre mon sujet.

" Alors, êtes-vous d’Asie ? "

J'ai commencé la conversation avec hésitation.
Soudain, je me suis rendu compte que c’était la mauvaise question pour commencer une conversation, surtout si elle ne l’aurait pas bien prit. Je me suis corrigée rapidement.

" Pas que je veux dire quelque chose avec cela, je pensais que c'était ton origine. Tu ne semble pas de venir d'ici ... "

Oui, oui… Très malin, Aspen. Mon frère commençait rigolait tout bas, mais moi, juste derrière son dos, pouvais l’entendre assez fort. Je tenais mes dents bien serré l’un a l’autre, fâché qu'il était toujours cachée quelque part dans ma tête. Et que je n’avais toujours pas réussi a le faire sortir de là…

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-Oui, je suis d'asie. ai-je dis avec un petit sourire. Aspen me faisait rire avec son énorme sourire et ses grands yeux.

-En fait, ma grand-mère Ayumi s'est marié à un loup-garou, qui était en fait mon grand-père. Au début, elle était venu ici avec un imbécile dont le mariage avait été obligé, et elle a été maltraitée par l'Imbécile et elle s'est mariée à mon grand-père. C'est pour ça que j'ai l'air asiatique.

Je souriait toujours en disant cela. Je ne sais pas ce qui me prenait, mais ma timidité était partie. J'avais envie de danser (ce qui ne m'arrive pas souvent), de faire la fête, de sauter et surtout de crier. Des frissons me chatouillaient le dos, mais pour une fois, cela ne me dérangeait pas de sentir cette sensation. Elle était différente des autres. Je n'avais pas envie de me retenir, mais je le fis quand même, je ne voulais quand même pas avoir l'air d'une folle.

Soudain ma timidité revnint. Je ressentis mes joues devenir d'immenses tomates, et mes pieds recommencaient à se tortiller. Je baissai la tête et je me dis *Arrête de t'inquiéter* . Après de longues secondes, je me sentais mieux mais pas aussi bien qu'il y a à peine deux minutes. Pour engager une conversation, je lui demandai :

-Et toi, tes origines?

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Après qu’elle avait fait tout ses explications, je ne comprenais toujours pas. Si elle vient de si loin, comment ça se fait qu'elle est une loup-garou ? Je demanderai a Sam ou a Noah plus tard.
Son origine n'était pas difficile à deviner, et je n'était pas du tout surprise de voir que j'avais raison. J'avais toujours raison, d'ailleurs. Je riais à l'intérieur quand j'ai vue que Maelys était beaucoup plus spontané qu'avant. Moins timide, je crois. Mais je l'étais aussi. Bien que dans les premiers temps j'étais très nerveuse, je pouvais rire maintenant. Ce n'était pas vraiment ce que j'avais prévue. Pas du tout!

Je me suis tourné vite fait aux garçons qui étaient toujours approfondie dans une conversation. Je n'avais aucune idée quel était l'objet, et sa ne m'intéressait pas non plus. Quand je redonnais mon attention a Maelys, j'ai aperçue des petits aluminisations dans ses yeux. On dirait qu'elle était satisfait, peut-être. Et moi-même, bien que je n'étais pas vraiment satisfait de ce que j’étais devenue – la monstruosité – je l'étais quand même en se moment. Maelys ouvrait sa bouche allègrement et de formait une phrase avec quelques mots.

" Et toi, tes origines ? "

J'ai du me balancer dans mes pensées pour un moment. Mes origines ? Je n'en savait pas beaucoup. Pas beaucoup du tout. Mes parents ne m'en on jamais parlé. Ce n'était pas vraiment important, a mon avis. Je lui répondais a ce que je croyais qui était la vérité :

" Je ne sais pas..." ai-je hésité. " Je crois que ma famille a toujours habiter a La Push de générations en générations. Moi en tout cas, j’ai vécue ici étant une petite fille. "

Je voyais l’image de mon et frère et moi jouer dans les bois devant notre maison. Malheureusement, ce n’est pas toujours été comme ça. Non, quand mon frère commença a venir dans ses années d’adolescence, il ne voulait plus rien faire. Jouer avec moi n’était plus sont objectif. Il préférait sortir avec ses amis et faire d’autre truc ‘plus important’. Et depuis quatre ans, je le comprenais totalement. Les privilèges qu’on avait en étant plus âgées étaient agréables, mes puis – comme me mère nous l’a dit – on avait aussi plus de responsabilité. Genre faire la vaisselle et les courses dans la ville. J’ai soupiré en pensant a sa. Ce soir, c’était mon tour de faire la vaisselle. Je grimaçais et regardais la toujours silencieuse mais souriante fille devant moi. Soudain, une idée apparue dans ma tête.

" Et, mais pourquoi tu viens pas manger chez nous ? " Je lui ai proposée avec un grand sourire. " Mes parents pourront te parlé plus de cela, si ça t’intéresse tellement. De toute manière, j’ai déjà faim depuis un petit bout de temps, donc moi, ça ne me dérange pas du tout. "

Oops… Cette ‘idée’ est sortie beaucoup trop vite de ma tête que je l’avais voulue. Ce soir, c’étais mon tour a faire la vaisselle. Et bon, plus d’invitées… c’est aussi plus de travaille.

Sam se retournai un peu triste et secoua ses épaules.

" Je dois rentré ce soir. Mais allez-y sans moi. " il me disait.

Noah souriais quand il vu le soulagement sur ma figure. Et oui, moins de vaisselle…

Commentaires :

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-Et, mais pourquoi tu viens pas manger chez nous ? Mes parents pourront te parlé plus de cela, si ça t’intéresse tellement. De toute manière, j’ai déjà faim depuis un petit bout de temps, donc moi, ça ne me dérange pas du tout. Me proposa-t-elle avec un encore plus grand sourire. Son frère marmonna un truc incompréhensible.

Je n'savais pas trop *J'étais jeune à ce moment-là* quoi répondre. Donc je fis une liste dans ma tête des points forts, et des incovénients en moins de deux microsecondes. Les points forts étaient les suivants : je ne devrai pas faire la vaisselle chez moi, je ne devrai pas préparer à manger vu que mes parents sont à une réception et Grand-Mère va à son cours de Hip-Hop, je ne devrai pas supporter la mauvaise humeur de ma soeur, je ne devrai pas me disputer pour savoir qui prendrais la douche en premier, je ne devrai pas glander devant mon ordinateur car Zara est en vacances à Memphis en Egypte, je pourrai me maquiller tranquillement, je pourrai me préparer à l'aise vu que Zélie ne viendras pas à la maison avant sept heure trente. Les inconvénients étaient les suivants : qu'allais-je porter? Mais cet incovénient ce transforma vite en point fort. J'avais une bonne raison d'acheter une nouvelle tenue!

-Euh... Si ça ne vous dérange vraiment pas, toi et ta famille, je veux bien...dis-je le plus timidement possible.

Je fixais la fille avec de grands yeux en attendant ça réponse. La chair de poule envahit tout mon corps. Les petits poils dans mon cou se hérissèrent. C'était comme si un petit ruisseau d'au glacée me coulait dans mon dos, en descendant jusqu'à mes jambes. Puis, c'étaient seuleument mes pieds qui étaient mouillés. Mes yeux se rereposèrent sur mes pieds mais je sautai un mètre cinquante plus haut lorsque je me rendis compte que je marchais dans une flaque de boue.

-Iiiiii !

Mes ballerines étaient bonnes pour la poubelle. Mon a-do-rable frère rigola fortement en me regardant enlever mes ballerines. Je sortis mon paquet de mouchoir de l'Eastpak qui me ramollissait le dos et frotta mes pieds. Mon vernis Vert pomme était devenu tout brun.

-Je peux vraiment être une imbécile parfois! dis-je encore une fois avec un énorme sourire.

J’ai sursauté quand Maelys commençait a crier d’horreur. D’abord je n’avais pas compris pourquoi elle avait tellement ouvert ça bouche, mais quand je penchais ma tête vers le bas, et voyais ses petites ballerines couvert de bout, j’ai crue comprendre. Maelys enlevait ses ballerines avec une grande grimace sur sa tête. Cette fille me surprenait. Elle change d’émotions tout les deux secondes. De timide, a sociale et puis…intimidée ?

" Imbécile ? Mais non, tu peux emprunter une de mes paires de chaussures, si tu veux. " je lui ai dit en rigolant – assez fort. " J’ai fait ma réserve après d’avoir aperçue que les pattes de loup sont beaucoup plus grande que ma pointure normale. "

Mais bon, c’étais un peu logique. Si mon corps était déjà cinq fois plus grand, pourquoi pas mes pieds ? Le grand corps poilue qui semblait être le mien m’avait étonnée. Les longs poiles qui étaient couvert au long de mon corps en tant que loup avaient une couleurs brun foncée, presque noir. J’horrifiais cette créature, et je désirerais – de tout mon cœur – de jamais être devenue cette bestiole monstrueuse.

" Donc, c’est décidée ? " demandais-je a personne en particulier.

Sam clignais sa tête et me regardais avec un de ses regards épatant. Comme si il voulait me parler juste en me regardant dans les yeux. Puis, il fait demi-tour et s’encourra dans les bois. Dans la moindre seconde il avait disparu entre les longs chaînes d’arbres. Noah et Boyd nous joignaient au moment même. Noah marchait calmement avec ses mains dans ses poches. Je voyais ses yeux a travers de ses cheveux mi-longs qui étaient couvert avec la capuche de son pull gris.

" Tu as oublier que tu dois faire la vaisselle ? " il ricanait.

J’ai tournée des yeux et secouais ma tête. Pas du tout. Gênée j’essayais de lui répondre. Pas raison de mentir, il l’aurait vu directement de tout façon.

" Oui…et non. Mais sa n’a pas d’importance. " Je voulais demander si on allait pas y aller maintenant, mais je me décidais au dernier moment. " Dit Noah, c’est quoi notre origine ? "

Maelys, qui était toujours a pied nue, m’avais rendu curieuse. Je voulais plus savoir sur ma descendance. Je savais déjà que mon père a été un loup-garou, tout comme son père a lui, mais quelle était l’autre côté de l’histoire ?

" Je… " Noah hésitait. Pourquoi ? Parce qu’il ne le savait pas ? Ou parce qu’il ne pouvait pas le dire ? Il leva la tête au ciel en regardant la grande lune qui était éclairée fortement et qui brillait sa figure. " Tu sais quoi ? On demanderai a la maison. Je crois qu’on dois y aller. "

Ainsi dit, ainsi fait. Je m’étais préparer a partir sur le petit chemin étroit dont on était venu sans pensée a la pauvre Maelys qui était mise a pied nue dans le sole de la forêt. Sûre de partire dans l'une des prochaines secondes. La lune brillait toujours aussi forte qu'avant, en éclairent la place. C'était magnifique.

Nous quittions le tronc d'un pas assez lent. Aspen parlait avec son frère. Moi j'étais à pieds nus, contournant une nouvelle fois les grosses racines, et je dis à mon frère :

-Alors, t'as sympathisé avec Noah?

Mon frère me regarda, puis contempla ses pieds, puis admira la gigantesque sphère éclairant la forêt et provoquant des ombres effrayantes. Les êtres humains ont nommé cet astre magnifique Lune. Elle ne provoque pas seulement ces ombres terrifiantes d'arbres feuillus, mais elle provoque aussi les transformations que nous subissons. C'est comme ça que nous errons la nuit, dans la forêt de LaPush. Mais ça que lorsqu'elle se montre complètement, c'est à dire à la pleine lune.

-Un peu oui. Il est cool. Il me fait penser à Matthew.

C'est ce qu'il avait répondu avec un énorme soupir. Matthew était le meilleur ami de mon frangin. C'était un garçon très sympa, très ouvert. Il n'était pas du genre à manipuler des gens, et était l'être le plus honnête sur cette maudite planète. Il a eu un accident de moto. Un camion est rentré dans sa Ducati. Le conducteur était saoule. Le barman vulguaire était un dealer qui poussait des enfants à se droguer. Et depuis ce jour-là, mon frère a décidé de ne plus jamais toucher à une seule goutte d'alcool. Moi-même je n'ai jamais bu d'alcool, et j'en suis fière. Mais il y a d'autres choses dont je ne suis pas fière...

Je voyais que mon frère faisait de son mieux pour retenir ses larmes. Je posai une main réconfortente sur son épaule, à quarante centimètres plus haut.

Je m'avançai vers Aspen et lui dit :

-Je vais d'abord me préparer un peu. Je dois être chez toi à quelle heure?

J’ai sentie un terrible mal au cœur en marchant sur la route de retour. Je tenais ma main à ma poitrine et restais coincée comme ça pour un nombre de secondes. C’était étrange, je n'avais aucune raison d’être triste, et pourtant je l'étais. Je ressentais beaucoup de douleur, comme si quelque chose de grave venais de ce passer. Je n'avais aucune idée de comment je suis venue à l'idée, mais je me suis retournée pour examiner ce qu’il ce passais derrière moi. Maelys avait sa main sur l'épaule de son frère, alors qu'elle le regardait avec compatie. La douleur que j’avais ressentie avant, s’éloigna de mon corps, et mes propres émotions – ce que je comprenais mieux – étaient a nouveau maîtres d’elle.

Maelys s'est tournée vers moi en s’avancent lentement.

" Je vais d'abord me préparer un peu. Je dois être chez toi à quelle heure ? "

D’abord je l’ai regardée pour un moment en silence. Sans réaction. Puis j'ai bougée ma main vers la poche de mon jeans et j’ai pris mon GSM. 09:56 PM. Les chiffres noir sur le petit écran de l'appareil illuminaient. J'ai couvert l’appareil avec ma main droite, et l’ai remis a sa place immédiatement.

" Prend ton temps," je lui ai répondue. " Je crains de ne pas dormir si vite que ça. "

J'ai placé un sourire sur ma figure en lui disant cela. Ces dernier temps, j’allais au lit de plus en plus tard. Je restais éveillé, à cause des réflexions et les questions que je n'arrivais pas a faire sortir de ma tête. Puis je m’allonger sur mon lit avec les mains pliées sur mon ventre en regardants le plafond. Les petites fissures dans les murs de ma chambre étaient peu intéressants, mais il n’y avait rien d’autre a remarquer dans ma chambre. Les ombres des arbres, qui se faisaient déplacer par le vent, jouaient souvent sur mes murs couvert de papier peint brun. Auparavant, étant petite, j’avais toujours eu peur de ça, mais maintenant je pouvais arrêter de me soucier de ça. Je n'étais pas certaine si je pouvais encore avoir peur si rapidement. Je n’avais pas beaucoup de réactions. C’étais toujours la même chose. Ma vie était composé uniquement d'essais et d'erreurs. Mais les chutes venaient de plus en plus souvent.

Je soufflait et poussait mon pied plus profondément dans la terre en secouant ma tête. J'étais tellement heureuse y a deux minutes, et maintenant je me sentais... vide. L'énergie avait disparue. J’espérais que je serais plus heureuse au cours de manger tant tôt, ce qui était plutôt le cas généralement. Depuis être devenue une loup-garou, j'ai toujours faim. C’est étonnant comment je mangais beaucoup. Par jour, Noah et moi, on mangait au moins cinq grand pains. Mes parents y étaient habitués, et ne donnaient aucun commentaire, comme si c’était très normale. Mais moi, je devais être plus attentive. Comme je suivais mes cours à l'école de Forks, s’était obligé d’aller voir des autres élèves quelques fois. Quand cela arrivait, je devais être prudente a voir ce que je mangeais, ou plutôt ; a la quantité que je mangeais. Je m’imaginais bien quelqu’un me proposer un biscuit, et a la place d’en manger un, je mangerais trois cakes. Alors là, c’étais honteux d’être a ma place. Mais bon, je ne devais pas me plaindre. La dernière fois qu’il y avait eu quelqu'un chez moi, était au moins un ou deux mois plus tôt. Depuis que ‘l'incident’ c’est passer, j’étais plus solitaire. Dans mon propre monde, on pourrait dire.

" Aspen, si tu souhaites avoir assez de nourriture pour ce soir, je me dépêcherais ! Les magasins sont déjà fermés, et je ne conduisez pas après 11 PM, comme tu le sais bien. " Grogna Noah.

Il avait posé son bras sur l'autre et nous regardait avec les sourcilles levés. Oui, c’est un de ces moment où je regrettais d’être la plus jeune de la famille. J'ai encore un peu moins de seize ans, et je suis également beaucoup trop paresseuse pour aller chercher un permis de conduire. Alors Noah était mon chauffeur personnel. Nous roulions toujours ensemble à l'école. Il me conduisait partout. C’étais vraiment gênant. Mes parents ne pensaient même pas à quitter La Push si cela n'avait pas une grande importance. Des dîners et ainsi, nous les avons toujours tenu dans notre maison. La grande salle à manger et salle de séjour étaient de bonnes raisons à convaincre des invités a venir. Quiconque habite quelque part dans La Push avait déjà établi un certain temps dans notre maison. Normalement, nous avons toujours des stocks de nourriture dans la cave, mais il y avait eu une grande réunion le week-end dernier, et ça avait vidé la totalité de la cave. Encore quelque chose que j’avais oubliée.

" Tu sais quoi, " j'ai commencé à dire à Maelys. " Je pense que tu aurais un moment pour te changer. Je dois encore faire mes préparations avant de cuisiner aussi… "

" Toi ? Cuisiner !? " Mon frère commençait à rire fort, trop fort. On pouvait voir ses dents nacrée dans le noir. Des grandes dents. Certaines dont on ne voulait pas être mordu.

Mais il avait raison. A chaque fois que j’ai même essayé de réchauffer quelque chose, ça finissait par ce brûler. Une malédiction, si on me le demande. Et le fait que Noah pouvait préparer a mangé magistralement, était encore plus écrasante. Il n’arrêtait pas de bien me le dire a chaque repas. Je le frappait – vite fait et fort – dans le ventre avec mon coude quand je le voyait ricaner.

" Eh bien, tu viens ? " S’exclama-t-il. " On va aller chercher tes ingrédients."

J'ai hoché la tête et saluais Maelys rapidement avant de courir derrière Noah, qui avait déjà disparu quelque part devant moi, plus profondément dans la forêt.

Son frère la regardait comme s'il avait vu pour la première fois un loup-garou de sa vie. C'était plus ou moins ma tête lorsque j'appris que mon Grand-Père et mon frère étaient loups-garous. Ma tête lorsque j'ai appris que j'étais loup-garou. J'étais persuadée que j'avais dû avoir le même air que Noah.

-Toi ? Cuisiner ?! lança Noah à sa frangine d'un ton supérieur. Si j'avais été à la place d'Aspen, j'aurais fondu de timidité. Comment pouvait-il autant minimaliser ses capacités? Mais Aspen avait plutot l'air de lui donner raison.

Ils partirent ensemble et je restai avec mon frère.

-Allez en route, Mini-Mamy

Dit Boyd avec un grand sourire. Très grand sourire, mais toujours moins grand que celui d'Aspen. Tout le monde avait toujours dit que je ressemblais fort à ma grand-mère.

Je suivis mon frère et l'autre Géant. J'avais du mal à les suivre, avec leurs énormes pas. Je courais tout doucement derrière eux sans oser lancer un regard vers l'obscurité derrière moi. Soudain je me rendis compte que j'avais perdu mes ballerines. Je me dis que ce n'était pas grave, que j'aurais dû les jeter de toute façon, et je me reprochai d'être si matérialiste.

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