Suite : " Rencontre de la meute " [fini]

Je venais d’avoir fermée la porte d’entrée derrière moi, quand j’ai entendue quelqu’un ou quelque chose grogner derrière mon dos. Je me suis tourné immédiatement, mais distinguais qu’une porte. Au début je pensais que le bruit venait d’un chien rôdeur, mais quand cette chose commençait a taper fortement sur la porte, j’étais terrifier. J'ai doucement ouvert la porte. Mon soulagement était grand quand seuls Noah était révélée.

"Je porte tout tes sacs, et tu arrives quand même a fermer la porte devant mon nez !" blasphémait-il.

Je voyais comment il entrait avec cinq sacs remplis d’ingrédients dans ses bras et il courait rapidement vers la cuisine. Oui... Noah, bien sûr. Je l’avais encore oublié. J'étais tellement occupée à penser à ce que j'avais à faire ce soir, que j'avais oublié qu'il était toujours là. Je me suis empressé derrière lui à la cuisine, après d’avoir accroché ma veste noir au crochet de la vestiaire.

La cuisine était un grand espace avec un carrelage de couleur marron clair. Au milieu ; une île avec un évier et un lave-vaisselle. Des armoires étaient arrangé contre les murs de l'espace, et la cuisinière – qui avait six feux à la place de quatre maintenant – était installé au milieu de l’endroit. Nous avons un réfrigérateur typique américain. Un avec deux grandes portes en fer qui protége tous les aliments contre des loups-garou avec un ventre qui n’était jamais remplis assez. J'ai ouvert le frigo et pris une grande bouteille d'eau froide.

"Tu veux quelque chose ? " j'ai demandé à Noah, qui avait posée les grands sacs remplis à côté de l’évier.

Il a voulu dire quelque chose lorsque j'ai ouvert la bouteille et l’ai placée à mes lèvres. Je buvais de grandes gorgées de l’eau froide. C’étais bizarre de sentir de l’eau si fraîche dans mon corps. La bouteille était à moitié vide quand Noah m'a interrompu. Il grimaçait et me regardait avec horreur faire ce que je faisais.

" Plus maintenant," marmonnait-il.

J'ai sourie et lui répondais : " C'était exactement mon intention."

Puis, j'ai bue les restes de l'eau. La bouteille était soigneusement plié et jetée dans le bac correspondant pour les bouteilles en plastique, après d’avoir bouche essuyer ma bouche avec ma manche.

J’ai soupirais et marchais jusqu’à l'évier de la cuisine. Les cinq sacs avaient été déballées. Tous les éléments étaient mis dans les armoires et les tiroirs, jusqu'à ce que je me suis rendu compte que tout était plein. J’ai dû laisser un sac remplis et un sac moitié vide sur la table. Noah m'a regardé avec ses sourcils soulevé. Il me regardait comme si il avait vue un éléphant pour la première fois. Il regardait comme cela a chaque fois qu’il y avait quelque chose qui ne comprenait pas.

" Quoi ? " Je lui dit grossier.

" J'ai l'impression qu'il y a vraiment quelque chose qui ne va pas ... " A-t-il dit.

Je voulais rire et ignorée son ‘pressentiment’, mais il semblait vraiment sérieux. Il n'avait pas de lumière dans ses yeux, celle qu’il avait normalement quand il faisait une blague ou quand il voulait juste m’énervé.

J‘expirais et j'ai laissé ma main glisser dans mes cheveux quand je marchais un tour dans la cuisine pour en revenir à côté de lui. Je me sentais mal orientée en le voyant baissé sa tête pour me regarder avec soucis. J’ai levée ma tête pour pouvoir le regardée dans les yeux et avoir une conversation comme il le fallait bien.

" Qu’est-ce qu’il y a ? "

" Je ne sais pas." Il levait ses épaules et chassait ses pensées de là. " C’est rien. Je me sens très stupide là. Il n’y a rien a paniquer. "

J'ai hoché la tête. Si il me disait que je n'avais rien à craindre, que je ne le faisait pas. J’avais confiance en lui, même si c’étais absurde de l’avoir. Pas de raison pour paniquer ; et surtout puisque j'en n’avais vraiment pas besoin en ce moment. Nous nous taisions pour un long moment tout les deux. Nous avions tout simplement rien à dire en réponse, je crois. J’observais les rainures entre les tuiles du sol de la cuisine et constatais qu'ils étaient remarquablement propre. Il n'y avait pas de nourriture entre les tuiles. Ma mère avait probablement nettoyé.

Le silence a été brisé par le bip de mon GSM. Qu ‘est-ce qu’il y avait encore ? Cette chienne n’avait pas encore compris que je ne souhaitais pas passé le week-end avec elle ? J'ai rapidement regarder le messages SMS que j'avais reçu. Il apparaissait un numéro de téléphone inconnu. Curieusement, je le lis :

Maelys a des problèmes. On doit la sortir de l’hôpital St-Edward. Viens au banc devant l’+ Vite ! Expliquerai plus tard. Boyd

Surprise je regardais le contenu. Qu’est-ce qu’elle avait fait maintenant ? Je me suis dépêchée de pendre ma veste du crochet et pris mon frère par le bras en le tirant avec moi dans la voiture.

" A l’hôpital! Fonce! "