[Dagda] : test pour devenir Niveau 2[Num 5]

(Voila Lynias, après plusieurs heures de réflexions j'ai écrit un texte en lien avec le contexte d'un de mes premiers RP)

Citation :: Les premières chutes de neiges,la nature qui se mourrait une fois de plus ..

L'hiver frappait de nouveau les terres de Yeso en ce début du mois de janvier.

Sur une petite colline , à travers la brume épaisse du matin, le visage d'une femme commençait à se dessiner.Aucune expression n'était visible sur le doux visage de cette inconnue, seule les larmes coulaient, gelant à une très grande vitesse, on aurait pu y voir une petite pluie de cristaux qui tentait de recouvrir l'empreinte de ses pas dans le sol enneigé.Elle marchait d'un pas vif et déterminé comme si il fallait absolument qu'elle traverse cette mer de glace et ce malgré le peu de vêtement dont elle disposait.On aurait dit qu'une invisible flamme la réchauffait.Une lueur de passion lui apportait un air plus qu'étrange en raison de la finesse de ses traits.

Au fur et à mesure de sa progression et que les rayons du soleil se faisaient de plus en plus intense, une rivière d'un rouge pourpre s'offrit à
elle.

Après une minute d'hésitation elle suivit cette dernière mais on sentait qu'elle avait perdu une partie de son assurance.Puis, d'un seul coup, elle s'immobilisa. Au loin, alors que la brume se faisait de moins en moins présente, une sombre silhouette était allongée sur le sol gelé.

Elle prit une profonde inspiration puis se lança à toute vitesse en direction de cette étrange masse qui ressemblait, de loin, à un pantin que l'on aurai brisé.

Le corps d'un samouraï était allongé sur le ventre, face contre terre.Elle mit donc toute son énergie pour le tourner face à elle, soulevant ainsi la lourde armure.Elle ferma les yeux durant toute la durée de la manoeuvre, la peur était trop grande.

Etait ce celui qu'elle cherchait ? Etait il tombé ?

Après s'être armée d'un courage dont elle semblait ignorer l'existence , elle fît un effort puis ouvrit l'œil droit, puis le gauche, légèrement.

La découverte de l'identité du pauvre malheureux lui fît lâcher un profond soupire de soulagement, en effet, il lui était totalement inconnu, seul le scorpion rouge sang dessiné sur son katana , qui gisait tout prêt, avait un nom et une valeur pour elle.

Désormais il lui fallait reprendre son chemin et continuer ses echerches, elle en était sur et certaine, il était dans les environs, elle le sentait.Son cœur battait de plus en plus fort au point de faire apparaître une certaine douleur au niveau de sa poitrine.Chaque découverte apportait son lot d'inquiétude et de soulagement à la fois.Mais après plus de trente minutes
de marches et de macabres découvertes, le désespoir et la peur commençaient à faire leurs apparitions dans les pensées de la jeune princesse.

C'est alors qu'un bruit familier entra à son tour dans l'esprit de la jeune femme.Elle le savait, elle approchait de la mer, le chemin qui la séparait de son amour était extrêmement réduit.Il était là, a quelques mètres, la joie se mêlant à la peur , elle se mit à courir, un large sourire aux lèvres.

La brume disparût enfin laissant place, tel un lourd rideau de théâtre , à la vision d'un homme portant la tenue traditionnelle du samouraï, agenouillé, face à la mer.Elle n'osa plus bouger, son sourire laissa place à un flot long et continu de larmes.Elle mit sa tête entre ses mains, ayant perdu toute motivation pour faire quoi que se soit d'autre.

L'auréole rouge qui était présente autour de l'homme qu'elle aimait le plus en ce monde signifiait qu'il était trop tard.Toutes ces aventures, tout ces efforts , ces trahisons pour en arriver là.Malgré tout ce qui c'était passé, il était resté fidèles aux uses et coutumes des samouraï et était donc mort en tant que tel.Victime du déshonneurs ultime, il ne pouvait continuer de vivre ainsi et devais agir comme le préconisait le Bushido (livre sacré).[/i

[i]Elle parla à voix basse:

-seppuku (Suicide lié au livre sacré qui doit être fait en cas de déshonneur), tes mots m'ont enlevés ce qui m'était le plus chers au monde ..

Une pétale de cerisier tomba alors sur son épaule.Cette caresse réchauffa quelque peu son cœur mais elle poursuivit son discours sur le même ton monocorde et casi déshumanisé:

-Je suis prête .. père ..

Au loin on entendit alors le bruit sourd d'un katana que l'on sortait de son fourreau...

Thème:Tout ce déroule durant la période médiévale, au Japon.Après de nombreuses aventures la princesse a déshonnorée son clan pour retrouver l'homme qu'elle aime.Malheureusement elle fût sur place beaucoup trop tard pour sauver ce dernier.

Voici les renseignements :

Thème : La Terre Du Milieu
Mon personnage : (Sir) Elanor Nénharma, roi de Minas Ithil.
Spoiler:
Ton personnage : Comme promis, je t'accorde une petite leçon d'histoire :
Quand Sauron acquérait de la puissance en Terre Du Milieu, les Valars décidèrent d'envoyer des Maiars sous forme d'Istari auprès des hommes et des elfes pour les aider à contrer les forces de Sauron. Ils sont connus sous plusieurs noms, mais les hommes les appellent simplement Mages. Ils ont l'apparence de vieux hommes, car à leur arrivée, il leur était interdit de dévoiler toute leur puissance. Leur nombre exact est inconnu, mais ils étaient au nombre de cinq lorsqu'ils accostèrent à l'ouest de la Terre Du Milieu. Des cinq, seul un resta fidèle à sa mission. Les hommes l'appelaient Gandalf le Gris.

Il y a plus d'informations sur les sites que j'ai lié aux mots spécifiques, je t'invite à aller lire les définitions.

Pour ce qui est de ton personnage, comme convenu, tu sera un mage (dit un Istar). Tu es libre de choisir au delà (s'il était dans les cinq qui accostèrent à l'ouest de la terre du milieu ou s'il venait d'ailleurs) et ses motivations. Ta seule condition est d'être mauvais ^^'.
Autre détail : Bah on a déjà tout régler, il n'y a rien a rajouter. Tu sais quoi faire

Bon Jeu !

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Une main nerveuse secouait formellement mon épaule. Je ne me réveillais qu'après quelques secondes; mais une fois mon esprit revenu à la lumière, je me redressai d'un bon en dégainant l'épée cachée derrière mon lit. Le soldat, qui avait l'habitude de ces réflexes matinaux, se recula à temps et adoptait une posture de garde, les bras le long du corps et la tête haute. Il tremblait imperceptiblement, malgré son professionnalisme. Je ne me laissai pas duper, et demanda d'une voix autoritaire, bien qu'un peu engourdie :

" Que ce passe-t-il ? "

" Un homme désire vous parler, Sieur. Derec vous a fait quérir. " répondit-il, déjà effrayé par la réponse que je lui donnerai.

J'étais en effet disposé à laisser aller ma colère, mais si Derec demandait à ce cher garde de me réveiller d'une heure si matinale, c'est que la raison était valable. Je n'en rajoutai donc pas, et fit signe à l'homme de disposer. Dès qu'il fut hors de la tente, je me levai et commença à m'habiller. Camiriel, ma merveilleuse femme, se retourna sur l'endroit où j'étais allongé quelques secondes plus tôt, et sorti de son sommeil en remarquant un vide creusé. Elle leva le tête, encore faible, et murmura :

" Que se passe-t-il ? "

Je me sentis obligé de répondre.

" Sûrement un mercenaire aux grandes nouvelles, ou un messager venant de loin qui a un message important à faire passer. Qu'importe, je dois me presser. "

Elle reposa sa tête et me regarda me raser, les yeux mi-clos. Une fois prêt, quelques minutes seulement après l'appel, je sortai de mon domaine et suivit le conseillé qui m'accompagnait vers le lieu de rendez-vous. Marchant à pas rapides, il entreprit de m'expliquer en clair la situation :

" Un messager ? "

" C'est en effet un messager, Sir, il vient de la par du mystérieux Sauron que vous avez rencontrés il y a quelques lunes... "

Mon regard s'étant perdu dans le magnifique spectacle que donnaient les couleurs naissantes du soleil qui était encore caché derrière les hautes collines de l'Est, je devins soudain bien aveugle au paysage qui m'entourait, aussi fabuleux soit-il. Je n'écoutai qu'à moitié ce qui suivit le nom tellement redouté. Sauron. Ah oui... c'était lui. Celui qui avait réuni les neuf plus grandes puissances humaines il y a trois lunes pour nous donner neuf anneaux qui signifieraient le pouvoir. J'en était bien content moi, de cet anneau. Il était forgé avec beaucoup de finesse, et il était exactement à la taille et à la forme de mon doigt ! Incroyable, ces forgerons.

Mais pourquoi envoyait-il son messager ? Que pouvait bien demander un homme comme lui ? J'avoue que malgré ma fierté, je m'étais senti bien intimidé par la forte carrure du roi.

Ayant marché à grands pas pressés, j'avais remarquablement diminué l'allure. Nous nous rapprochions donc de ce salon où patientait le messager...

Mon conseiller ouvrit la grande porte de chêne, et resta à l'extérieur. Le conseiller n'avait pas le droit d'assister aux conversations privées avec certaines personnes, sur demande de l'auteur du message. Cela entrait bien sûr en oeuvre pour ce cas-ci. J'avançais de quelques pas avant d'apercevoir le messager en question. La porte se referma derrière moi, nous enfermant tous deux dans la pièce qui aurait été sympathique si cet individu n'avait été là. *

*

Mon personnage:

Nom: Odar
Fonction: Istar et bras droit de Sauron.(Vu qu'on modifie l'histoire et que ma seule condition est d'être méchant je me suis permit d'afficher ce titre)
Motivation(s):Il est donc devenu comme saruman, un ennemi de ce qu'il aurait du être, défendant le mal et servant les sombres plans de Sauron.

La photo du petit:(je n'ai pas trouvé mieux)

Spoiler:

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L'aube, la froideur de la nuit qui tend à disparaître avec sa naissance.Devant Minas Ithil, la belle tour de la lune, un homme se
présentait aux gardes.Il était très grand, vêtu d'une cape d'un vert émeraude, d'un chapeau pointu et de vêtements de la même couleur.Il avait l'apparence d'un vieillard mais ne semblait pas avoir eu a subir les dégâts du temps mis à part les traits de son visage.

Son Visage, tout comme ses mains, était tuméfié et de sombres croutes venaient rendre l'horrible spectacle plus terrifiant qu'il ne l'était déjà.Son regard semblait vide et froid, ce qui avait pour effet de glacer le sang de celui qui avait le malheur de le croiser.Bien plus que l'apparence repoussante de l'individu, c'est l'aura, l'impression de mort qui émanait de lui, qui le rendait si impressionnant et terrifiant pour qui conque l'approchait.

Il s'avança donc vers les deux hommes et parla d'une voix froide et monocorde.

-J'ai un message de la plus haute importance de la part de Sauron pour le roi de Minas Ithil.
Il ne bougea pas, attendant la réaction du garde à qui il s'adressait.Garde qui semblait pétrifié par la présence de l'inconnu.

Cependant, sa peur le fît bouger plus rapidement qu'il ne l'aurait cru.Il
croisa alors le conseillé Derec auquel il conta la situation.Le conseillé fronca les sourcils, restant silencieux un court moment puis déclara d'une voix forte.

-Va quérir le roi, je vais faire rentrer notre hôte pendant ce temps.

Le conseillé se dirigea d'un pas vif vers l'entrée du château, s'inclina face à l'inconnu puis lui fît signe de le suivre.Il savait que cette visite était importante, le roi lui avait fait part de leur précédente rencontre.Comme toute visite de cet ordre il mena l'homme, un sorcier pensa t-il, vers la grande et chaude salle de réception.Le Conseillé eu une étrange pensée quant à l'antagonisme qui existait entre le visiteur et l'aspect de la salle.L'étrangé fît un bref signe de la main en guise de remerciement et lui fit comprendre qu'il pouvait prendre congé.Ce qui n'eut pas besoin d'être dit deux fois, en effet, être en présence de cet individu ne lui plaisait guère.Il lui fallait désormais retrouver le Roi afin de lui expliquer la situation.

Quant au mage, il se perdît dans la contemplation du feu qui ronflait au centre de la pièce.

oOFlashBackOo

Le soleil était, comme a son habitude, brûlant et agressif.Le pâle vent d'automne nous faisait frissonner, bien qu'il n'y eu aucune peur dans nos âmes.

Face à mes frères, un homme de grand taille au teint mate, les cheveux tel de l'or, flottent au rythme de la douce brise, nous regardait avec gravité.

C'est alors qu'il s'exprima sur un ton dur et froid.

-Sauron prend de la puissance en terre du milieu, mais ça vous le
savez déjà.Le mal ne peut perdurer, nous devons venir en aide aux peuples libres.
Il laissa un bref silence , le temps pour lui de nous observer et de nous faire comprendre l'importance de notre raison d'être.
Cinq d'entre vous sont déjà partit.Cependant plusieurs on
déjà échoué, du moins, en pensée si ce n'est en acte.La terre du milieu a besoin de vous !
Il leva ses mains comme pour adresser une prière.
Que la grâce des Valars soit avec vous Istari, défenseurs du
bien.

OOFlashBackOo

La porte se ferma ce qui interrompue les pensées de l'istar.Il dirigea son regard de mort vers le nouveau venu, celui qu'il attendait, le Roi Elanor.Il se leva donc, inclina légèrement la tête puis reprit place sur le confortable siège situé prêt du feu.On pouvait percevoir une vague lueur de désire
dans son regard, ce qui était bien rare dans son cas.Il savait qu'il approchait, son maitre Sauron allait vaincre grâce à son aide et le monde des hommes était prêt à tomber.Les premiers pions étaient en place.Il savoura la sensation de malaise qu'il procurait à son hôte.Les hommes étaient si faibles.Ils osaient appeler ça un Roi.Ça satisfaction était d'autant plus grande qu'il savait qu'il avait l'avantage sur cet homme.

Il posa volontairement son épée, encore tachée de sang, à ses cotés, pour que le Roi puisse la voir et perdre encore un peu plus de ses moyens.Il fallait absolument que Elanor ne soit pas aussi vigilant et aussi avisé qu'on le prétendait.Il commença donc à parler.

-C'est un plaisir de vous voir Roi Elanor, Ô grand Roi des hommes.
Dit-il sans y croire lui même.
Mmmhh, il fixa l'anneau que Sauron lui avait offert, je vois qu'il vous
plait, il vous va a ravir.
Ca fausse politesse n'était là que pour endormir encore un peu plus la garde du Roi.
Je viens dans votre royaume afin de vous portez le message de mon maitre Sauron, celui a qui vous devez ce magnifique présent,Il montra l'anneau de son doigt cadavérique, dont vous tirez fort profit, de la manière dont il se doit , je n'en doute pas.

Il prît un court instant de répit, durant lequel il laissa son interlocuteur assimiler ce qu'il sous-entendait, puis reprit.

-Mon maitre désire installer quelques légions de sa puissante armée
dans votre grand château durant un court moment afin de vous apportez sécurité et aide.Mais également pour prouver l'amitié qui existe entre nos deux royaumes.
Il pencha alors, de nouveau, son regard sur l'anneau offert au Roi.
Qu'en dites vous?

Il ne laissa paraître aucune marque d'émotion pour éviter toutes mauvaises interprétations qui seraient du à la lourde nouvelle qu'il venait d'apporter.Il se contenta de caresser son épée, Emplissant la pièce de sa propre noirceur.

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(La fin pause problème au niveau des couleurs mais je ne comprends absolument pas pourquoi il refuse de faire ce que je lui demande >< Il y a toujours le problèmes des lignes qui saute, je crois que c'est à cause de OpenOffice. )

(Dagda Edit: J'ai corrigé le bug des lignes, j'espère que rien n'a changé u_u)

Spoiler:

La première chose que j'aperçus lorsque mes yeux se détachèrent de l'ombre sous la capuche de couleur vert profond, fut l'épée tachée de sang que l'individu tenait en équilibre entre sa main et le sol. Bien sûr, cela avait été mis en scène dans le simple but de m'effrayer, mais je ne pouvais me résoudre à me laisser aller comme ça dans ma propre demeure. J'avais été effrayé quand j'avais appris qui m'attendait dans ce salon privé, mais je ne pouvais me laisser influencer par une épée ensanglantée. Le messager se mit à parler, alors que je tentais de reprendre confiance en moi.

" C'est un plaisir de vous voir Roi Elanor, Ô grand Roi des hommes. "

Il y eu une courte pause pendant laquelle je le dévisageais curieusement. L'ombre qui masquait son visage était de temps à autres occultée par le feu, et je pouvais alors voir ce visage redouté. Je compris alors pourquoi il portait cette cape émeraude, il avait l'apparence d'un vieil homme usé. Il avait besoin de cette épée ensanglantée pour faire pression, son physique n'étant pas de très grande utilité dans cette tâche.

Cette remarque me fit reprendre confiance. Il fixait l'anneau sur mon doigt, et je relevai le menton de fierté. Ce messager savait sans doute que c'était son maître lui-même qui m'en avait fait présent car il le commenta d'une voix rauque :

" Je vois qu'il vous plaît, il vous va a ravir. "

Je cru percevoir une pointe d'ironie, mais je reçu cela comme un compliment même si ma fierté avait été heurtée. Pour rendre son aspect officiel à notre entretien (et pour détourner un peu le fil de la conversation), je pris une voix forte et déclara :

" Alors, Sieur, pourquoi êtes-vous ici ? "

" Je viens dans votre royaume afin de vous portez le message de mon maitre Sauron, celui a qui vous devez ce magnifique présent, dont vous tirez fort profit, de la manière dont il se doit , je n'en doute pas. "

C'est au moment où il pointa ma main avec son doigt si fin et plutôt pâle que j'entendis le vieillesse qui pesait sa voix. Il gardait cependant un accent bien autoritaire qui me retenait à le considérer comme un vieillard en attente du repos. D'ailleurs ses propos étaient bien insultants, pour une personne de mon rang, d'une part parce qu'il laissait sous-entendre que je devais agir d'une manière ou d'une autre si je voulais être digne de ce bijou, d'autre part vu que je ne comprenais pas très bien et que je refusais de l'admettre.

" Mon maitre désire installer quelques légions de sa puissante armée dans votre grand château durant un court moment afin de vous apporter sécurité et aide. Mais également pour prouver l'amitié qui existe entre nos deux royaumes. "

Si j'avais vu, j'aurais tout recraché. Si j'avais été entrain de mangé, j'aurais avalé de travers. Si je marchais, j'aurais trébuché. Etant simplement assis sur un fauteuil de velours, mon coeur se contenta de rater un battement, et mon visage blêmi.

" Qu'en dites vous ? "

" Je vous demande pardon ? "

Je faisais de mon mieux pour paraître rassemblé, et formulait déjà une réponse dans mon esprit.

" Pourquoi votre maître, Sauron, voudrait-il protéger mon château ? Nous croît-il en danger ? Je ne comprends pas très bien votre main d'oeuvre. Pourquoi ne pas m'envoyer de l'or et signer un pacte d'alliance qui rentrera en compte le jour où éclatera la guerre ? Je ne saurais que faire de ses légions, ni comment les loger ou les nourrir; et je crains qu'accepter une telle armée ne sème la panique entre la population. "

Son annonce, si froide, si directe, avait eu l'effet escompté.Le Roi était totalement déstabilisé.Il lui fallait maintenant jouer son rôle, ce pourquoi son maitre lui avait confié cette mission d'une importance capitale.Il devait semer la peur, le doute et l'angoisse dans le cœur de cet homme.

Il se leva, mit son épée dans son fourreau puis se pencha pour placer son macabre visage à quelques centimètres de celui D'Elanor.

Le feu qui ronflait dans son entre quelques minutes plus tôt, perdit soudainement de son intensité.L'atmosphère se faisait de plus en plus froide et la pièce elle même semblait disparaître laissant les deux hommes dans la plus totale obscurité.Il murmura, dans une langue inconnue, un message à son interlocuteur qui, il en était sûr, allait pourtant le comprendre.Le ton presque polie qu'il avait utilisé quelques minutes auparavant, avait totalement disparu, il ne prennait plus la peine de prendre une quelquonque manière, tout dans sa voix était devenu aussi froid et mort que son apparence.

-Mon maitre, Sauron le grand, à mit en marche une armée sortie des profondeurs du monde.Dans deux jours elle sera dans votre château, peut importe votre réponse, seul les conditions de son occupation s'en verrons modifiées.

Il posa alors sa main tuméfiée sur celle du Roi.

-Il vaudrais mieux pour vous et votre peuple .. Un bref silence, lourd de signification, fît irruption avant qu'il reprit son discours

-De servir celui qui vous à offert cet anneau de puissance, car désormais, vous êtes à lui et à personne d'autres.

De son autre main, qui était tout aussi abimée que la première, il prit ce qui ressemblait à une boule de cristal noir et plaça la main du Roi sur cette dernière d'une manière plutôt brutale.(Palantiri )Maintenant que le contacte physique était fait, il appartenait à Sauron de faire part de ses arguments.

Le mage reprit place sur son fauteuil et prit un plaisir mauvais à observer le Roi dont le regard était inextricablement fixé sur le palantiri.Voir son maitre torturer cet esprit si faible lui apportait une certaine forme de réconfort.

Le Feu reprit peu à peu de sa vivacité et le mage, reprenant son ton faussement respectueux, comme il l'avait fait au début de la conversation, répéta la question qu'il avait formulé un peu plus tôt.

-Qu'en dites vous ?

Désolée, mais j'crois qu'il faut mieux qu'on arrête le sujet là, même si j'avais vraiment envie d'arriver aux mains Very Happy

Ca aurait été cool à jouer... déverrouillerai peut-être le sujet, un jour, pour finir ce jolie extrait.

Comme je te l'ai déjà annoncé, mais qui n'a pas encore été dit officiellement, tu as ton niveau 2.

Pas de surprise, faut dire. Bon, tu peux passer ton niveau 3 dès que tu veux. *soupire* ça va être dur de trouver un sujet... mais bon, bonne chance pour la suite et bla bla bla

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