Premier pas d'une révolution [Sujet resumé]

La foule avait quitté l’auberge instamment après le témoignage qu’ils avaient entendu de la servante maltraité par les nobles, Nim. Précipitamment, les gens se divisaient en groupe d’une trentaine pour raconter l’histoire au reste de la ville. Leurs familles, amis, chacun qu’avait qu’une liaison à une personne avait entendu l’histoire dans la moindre de minutes. Avec des cœurs enflammés par l’aubergiste du Roulin Mouge, ils créaient un passage entre la masse de maisons vers le district de la noblesse où habitait une simple famille de nobles pendant les jours de l’été. Quelqu’un avait proposé d’allez vandaliser leur propriété, parce qu’ils devaient bien faire

, et comme il n’y avait pas de risque d’être aperçu, cette maison était choisi.
Mais malheureusement, la bravoure n’était que de courte durée. Au moment où les premières pierres passaient à travers les vitres de la maison plus ou moins plus luxueuse que les autres, l’homme de la famille sortait et se lança vers la foule, exigeant de savoir ce qu’il se passait.

« Que ce passe-t-il ? » cria-t-il. « Pourquoi lancez-vous ces pierres vers la maison où mes enfants dorment ? Est-ce que vos cerveau on été empesté par l’odeur du poisson ?! Une de ces briques aurait pu tomber sur ma famille ! Êtes-vous donc devenu complètement débile et ignorant ? »

La foule se calmait, bien sûr, car quand on est ensemble et en groupe, c’est bien facile d’agir ainsi. Mais aucune personne n’osait lever sa voix pour affronter l’homme de noblesse et d’expliquer ces actes vigilants. La retraite était une réponse assez claire pour la grande foule de poissonniers. Un par un, le groupe rétrécissait, jusqu’à ce qu’il y avait plus qu’une personne. Une jeune fille, Emilia Rowenn, connue pour son violent caractère, prête à affronté la noblesse. L’idée de tournée son dos vers l’homme musclé devant elle n’avait jamais passé dans sa tête. Elle n’était tout simplement pas la genre de personne qui abandonnait une fois que tout le monde abandonnait. Au contraire, elle ferait tout pour se distingué entre la foule de poissonniers. C’est donc pour cette raison qu’elle tenta sa chance.

« C’est vous qui avez renoncé votre confiance envers nous ! C’est vous qui avez traité une servante comme esclave ! C’est vous qui l’avez fait ramper par terre pour la faire venir juste qu’ici, où elle retrouverait sa liberté ! Et puis vous demandez ce que vous avait fait ? Vous devriez avoir honte ! »

Même si la plupart des accusations n’était pas correcte envers cette famille, le fait que ce soit des nobles tout de même, avait progressé la colère en la jeune fille. Elle s’avait rapproché de l’homme costaud, assez près pour pouvoir le craché dans sa figure.
Celui-ci faisait passé la manche de sa veste sur son visage, pour nettoyé sa figure, tout en visant Emilia d’un regard de père fâché. Très fâché.

« Sale petite gamine ! Là tu as franchi la ligne. Je fais appelle à la cour directement ! Soit bien sûre que tu pourrais travailler pour moi le reste de ta vie ! »

Emballé par l’agression, Emilia Rowenn avait négligé les règles de la société bourgeoise. Surtout celle où il fallait avoir du respect pour les gens d’une hauteur plus élevé que sois. Immobilisé par le regard du noble, et de sa famille qui regardais la scène attentivement par la fenêtre où il y avait encore eu une vitre quelques moments passés.
*Peut-être j’ai vraiment franchi la ligne là…* s’avait-dit Emilia bien trop tard.
Heureusement, Frankie, un gosse dans la troupe d’avant, avait vu qu’Emilia trainait devant la maison, et s’avait précipité vers l’auberge pour aller chercher l’aubergiste, qu’il voyait toujours comme sauveur de son peuple.

Ewan Grish avait couru vers la scène pas trop banale dès que Frankie le gosse lui avait parlé. Son rôle naturel de leader ne l’avait toujours pas échappé, donc il avait espéré de venir à temps. Ce qui était exactement le cas.

« Hoooo ! Attendez donc chère Monsieur, avant que vous vous précipiter ainsi avec cette jeune fille ! Tout d’abord, je ne crois pas qu’elle va faire preuve d’une bonne servante – sans rancune, fillette – avec une bouche remplis de telles paroles. Puis il faut dire qu’elle a quand même un tout petit point de justice ici, car oui, vous ‘la noblesse’ avez vraiment maltraité une de nos précieuses compagnes, ce qui nous rend pas trop content. Et c’est pour ça que ces gens là– » dit-il en visant le groupe derrière lui, qui avait légèrement agrandi à nouveau, avec son index. « veulent vous massacrer. Alors j’espère bien que vous retiriez votre complainte envers cette fille, parce que cette bande de ‘poissonniers’, ne cherche qu’une raison d’attaquer. Merci beaucoup ! »

Le noble, un peu accablé par ce qu’il venait d’entendre, voulait répondre de retour, quand sa femme courrait vers lui en lui criant quelque chose : « Ne fait pas le malin, Colin ! Les enfants… ! »

C’était sûrement remplis de regrets, qu’il tourna le dos vers la foule curieuse/furieuse et s’enfui avec sa famille et le reste des habitants de sa ‘maison de vacances’.

« Et n’oublie pas de prévenir la noblesse qu’on les massacrera à mort un de ces jours! » hurla l’aubergiste modestement. Ce qui fut pour lui le début d’une longue histoire…

Le peuple, la foule, le groupe de poissonniers qui avaient vu les bourgeois s’enfuir pour les paroles effrayantes de Ewan Grish, le regardaient comme une idole.

« Ouuui ! A nous la victoire ! » cria quelqu’un.

« Vive l’aubergiste ! » un autre.

Plusieurs gens commencèrent à crier le nom d’Ewan, et c’est à ce moment qu’il se réalisait ce qu’il venait de faire. Il avait été l’exemple de ce monde sans espoir quoi que ce soit, et aujourd’hui même, il devrait porter les conséquences de ces actes égarés. Un lourd fardeau qui serait difficile à soutenir. Très difficile même…

Spoiler:

[Suite de l'histoire d'Ewan]