Sauvons-la [fini]

Je ne savais pas comment je me sentais à l'heure actuelle. Fatigué, nerveux ? Terrifier peut-être? Je me suis assis avec mes mains bien serrée a la chaise de la voiture, ne pas sachant à quoi m'attendre. J'avais expliqué Noah en quelques lignes serrées ce que Boyd avait mit dans le SMS, mais il n’en savait pas vraiment plus que moi pour le moment. Il avait brusquement resserré ses mains autour du volant et il donnait fortement gaz quand je lui disait d’aller plus rapide. Je ne sais pas exactement pourquoi je paniquais, il n'y avait absolument aucun point de le faire, mais je le faisait quand même. Quoi d'autre est si important que même notre dîner devait être dérangé ? Et pourquoi devrions-nous aller à l'hôpital ? Je sautais immédiatement à la poignée de mon portier quand j'ai vue que nous étions éloigné de vingt mètres de l'hôpital.

" Qu’est-ce que tu fait, espèce de folle ?! " Noah hurlait. " Je suis toujours entrain de rouler ! "

" On n'est pas assez rapide. " Ai-je répondue calmement.

Noah a tourné son regard de la route et m'a regardé avec confusion. Si il n’avait pas ses mains autour du volant, il les aurait sûrement soulevés. Mais mon regard lui exprimait assez pour bien les garder à l’endroit où ils étaient placé. En sécurité sur le volant.

" Mais m*rde, je roule 100km/h, ce n'est pas assez ? "

Il avait raison. Ses yeux se pivotaient a nouveau sur la route devant lui quand il aperçue que je n’étais pas vraiment prête a répondre. Ma main s’enleva doucement de la poigné de la porte, et j’installait mes pieds de nouveau devant moi sur le tapis qui se trouvait juste en dessous du cassier où les papiers de Noah étaient caché dedans. J'ai aperçue comment la fléchette sur son tableau de bord a diminué lentement à trente kilomètre par heure quand nous nous rapprochons de l'hôpital. L'hôpital était un bâtiment qui n’était pas très grand. C'était très logique dans cette petite ville où on se retrouvait maintenant. Il n'y avait pas beaucoup de blessés. Au plus pire, quelqu'un qui c’est cassé une jambe avec un accident en moto ou quelqu’un qui passait pour chercher un pansement. Non, Forks était relativement calme dans ce cas. Le petit bâtiment blanc venait plus près. Il y avait une grande place où quelques buissons et quelques arbres étaient placé au devant de l’hôpital. La voiture de mon frère se dirigeait vers les portes vitrées qui servaient comme entrée. Et quelque part sur la place, contre le mur de l'hôpital, et à côté d'une poubelle, il y avait un banc. Sur ce banc une immense stature. Boyd. La voiture ralenti encore plus, jusqu'à ce que après quelques minutes elle s'arrêtait complètement. Noah s’avait stationné sur l'un des nombreux espaces de stationnement sur la place. Quelques dépliants et brochures se trouvaient par terre. Des dizaines de pieds avait déjà mit leur poids sur les petites feuilles. Certains s'envolaient avec le vent, a cause de la brise du soir. Il était difficile de voir ce que les lettres au-dessus de les portes vitrées de l'hôpital disaient. Et pas seulement parce qu'il était sombre dehors. L’intérieur de l’hôpital était illuminer par de nombreuses lumières et on pouvait bien apercevoir un petit bout de la réception. Une ambulance était stationné à côté du bâtiment, comme si il venait d’y arrivé.

Quand je sortais de la voiture de mon frère, je ressentais un frisson descendre du long de mon dos. Ce n’était pas a cause du froid – je ne le ressentais même pas – mais je fermais quand même plus la tirette de mon pull. Quand je sentais des petites pierres poignarder mon pied, je regardait vers le sole. J'apercevais que je portais toujours mes pantoufles. Qu’est-ce que c’était gênant ! Je soufflais et marchait au long de la voiture pour accompagner Noah au frère de Maelys. Il y avait un peu de mauvaises herbes entre les briques du terrain, avait-je remarqué. C’est rare comment tout les petits détails deviennent claire dans les moment les plus inapproprié. On s’avançaient jusqu'à ce qu’on était venu a un mètre du banc. Boyd – qui était toujours assis – nous regardais avec un air plutôt inquiet. Noah était le premier a ouvrir sa bouche :

" Alors, explique… qu’est-ce qu’il c’est passé ? "

Spoiler:

J'entendis une petite demi-douzaine de voix autour du lit blanc dans lequel je prétendais être une fille K.O. ce qui fut cependant assez dur car des lumières étaient fixées sur mes yeux. Je me concentrai sur les voix car sinon j'allais être tentée de bouger.

-Cela n'as pas l'air d'être trop grave. Cette jeune fille a un bon ange gardine. Nous enverrons le Dr. Zack après qu'il aie fini avec l'opération. Bien, Célandine et Emily, venez avec moi et Mona, tu iras chercher le Docteur.

Un bon ange gardien?! Il peut parler lui. C'est encore sur moi que c'était tombé.

-Je crains que le Dr Zack soit malade, docteur. Je peux appeler le stagiaire? Aucun autre spécialiste est libre.

répondit une voix d'infirmière. Sa voix était si douce et si apaisante que j'eusse failli m'endormir. Mais grâce au lumières je tint le coup jusqu'à ce qu'ils me quittèrent. Je me rendis compte que j'avais retunu ma respiration pendant les cinq dernières minutes. Dés que j'entendis la porte claquer, je me précipitai vers la fenêtre. J'allais trébucher sur un essui que l'une des infirmière avait fait tomber que j'entendis la porte s'ouvrir. En vitesse, je retournai vers mon lit.

-Bonjour mon petit Lapinou! Je t'ai apporté un cad- Oops!

La femme se rendit compte qu'elle n'était pas dans la bonne chambre, pas dans la chambre de son petit Lapinou, mais dans la chambre d'une fille qui s'était attiré des ennuis élémansardes. La femme refermit doucement la porte, et je dût me battre avec les draps pour sortir du lit métallique. Enfin debout, je courrai vers la fenêtre mais j'avais oublié l'essui. Je me retrouvai par terre, dans une position très incomfortable et me relevai avec une rapidité invisible. Je posai mes mains sur la bordure de la fenêtre et vit mon frère s'approcher de Noah et Aspen. Je réfléchis comment sortir de cette chambre. Je pourrai sauter par la fenêtre? Trop de spectateurs. Je pourrais me déguiser? Avec quoi? J'étais perdue et surtout à cours d'idée. Ils étaient ma seule chance...

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Spoiler:

Il avait tout expliqué, du moment ou il avait reçu l’SMS de sa sœur, jusqu’à maintenant. Il avait plutôt l’air très inquiet. Je n’avais aucune idée comment Noah aurait réagis à la situation. Serait-t-il aussi si inquiet ? Ou aurait-t-il rien a battre de ma bienveillance ? A vrai dire, je ne m’avais encore jamais mise dans tel situation, et je ne voulais pas vraiment le découvrire.

Depuis un petit moment, j’avais une chanson dans ma tête. C’étais toujours au moment les plus embêtants que cela m’arrivais. Des mélodies que j’entendais quelque par au long de la journée et que mon cerveau gardait caché dans un des tiroirs musicaux, pour les en faire ressortire au moment où l’adrénaline coulait a travers de mon corps. Ces moment ou je me sentais obliger de trouver des petites solutions anti-stress. Pas que ça marchais toujours, au contraire, sa me rendais bien plus nerveuse.

Boyd avait proposé de rentrer et de vite sortir sa sœur de ce « cauchemar ». Naturellement, Noah et moi, nous étions immédiatement d’accord. On marchais – ou plutôt courais – vers les grandes portes en verres de l’hôpital. Une fois arrivé a l’intérieure, une jeune réceptionniste nous saluait.

" Bonjour mademoiselle, " commença mon frère. " On a entendu qu’une fille a été emporter ici en toute vitesse après un accidents de voiture. Nous somme sa famille, dans quel chambre est-ce qu’elle reste ? "

La réceptionniste avait appliqué un petit badge en or – sûrement faut – avec son nom et prénom écris dessus sur son outfit. Jenna Cooper. C’est un nom tellement commun. C’était un prénom que tout les filles avaient dans les grand films clichés américains. Oui, je craignais que les régisseur d’aujourd’hui n’avait pas assez de fantaisie.

" Ah, oui, cette fille ! " elle lui répondait. " Et bien, je suis navré, mais elle ne peut pas avoir de visite, elle doit encore être éxaminer, et il n’y a pas de famille accepter durant cela. "

Examiner ? Examiner ! Si Maelys allait être ‘éxaminer’, c’étais sûre que les docteurs ou chirurgiens allaient flipper ! Personne était au courant de notre existence, et on nous l’avait bien expliqué clairement que cela devait rester secret pour encore longtemps… Imagine, l’existence des loups-garou publié dans tout les journaux, on serait devenu des expérience de professeur ou des créatures dans le zoo. Ou pire… Non, on devait absolument enlevé Maelys d’ici.
C’est alors qu’une femme dans les trentaines rentrait dans la sale de réception. Elle avait un grand sourire. C’est cheveux blond platine pendaient sèchement devant ses yeux. Elle avait l’air fatiguée. On pourrai la décrire comme une femme marginale, ou… dans son « midlife crisis ». Cette période ou les femmes devenaient complètement folle et croyait réellement qu’elles étaient ‘jeunes’. Elle avait un téléphone a son épaule et parlait fortement dans le haut-parleur.

" Oui, je te jure, c’était vraiment la honte ! Je m’avais trompé de chambre, et la chinoise me regardait avec un de ses airs… "

Chinoise… Maelys ! Je courrais vite vers la femme et abandonnait mon frère et Boyd qui, eux, essayait toujours de trouver une solution pour retrouver Maelys.

" Madame, madame ! " criais-je. " Excuser-moi, j’ai entendue que vous parlez d’une chinoise, a mon avis c’est une amie a moi, pouvez-vous me dire dans quel chambre elle se trouve ? "

La dame me regardait un peu choqué, mais après elle réagissait exactement comment je le voulais. Avec sa main devant le haut-parleur, elle me répondait :

" Dans la chambre numéro 25. C’est juste à côté de la chambre de mon amour. Il a eu un accidents hier soir, le pauvre… Il est tombé des escaliers et… "

Je n’avais pas vraiment entendue le reste de l’histoire, car je courue vers Noah et je le tirais avec moi vers l’ascenseur, suivi par Boyd. En route vers la chambre de Maelys…

Commentaires :

Spoiler:

Ils parlaient et je vis mon frère se gratter l'arrière de sa tête. Mauvais signe. Après quelques instants, ils traversèrent la route et rentrèrent dans l'hôpital de Forks, avec Aspen en tête suivit des deux géants. La clinche recommenca à grincer. *N'allaient-ils donc jamais me laisser tranquille?*pensai-je en soupirant et en me reposant dans le lit imcofortable.

-Mademoiselle? Est-ce que vous m'entendez?

La voix était tellement... douce et gracieuse, que j'en eu le souffle coupé. Je sentis son bras traverser l'espace au-dessus de mes yeux et compris vite qu'il voulais attraper mon porte-feuille que des infirmiers avaient sortis de ma veste.

-Mam'zelle Ching Ô? Est-ce que vous m'entendez?

répéta-t-il d'une voix encore plus douce. J'eus du mal à ne pas battre des cils tellement sa voix était séduisante. Mes mains serrèrent les draps d'un blanc parfait. J'avais tellement envie de me réveiller, de regarder le jeune homme qui se présentait au-dessus de moi. Je ne l'avais jamais vu, mais j'étais sûre qu'il était d'une beauté éblouissante. Il me donna une sensation de sécurité et de paix... Et puis, si je me réveillais était-ce si grave? Au moins je n'aurais pas autant de mal à me retenir...

-Ma... Maelys Ching Ô?

J'en pouvais plus! J'ouvris lentement mes yeux et... J'avais raison, c'était l'être le plus magnifique que j'avais jamais vu. En oubliant les Sangsues, bien sûr. De toute façon, s'il était un beuveur de Sang, je l'aurais flairé. Mais chez eux, la beauté n'était pas ''naturelle''. L'homme avait de profonds yeux gris-bleu, qui me firent encore plus craquer. Je ne pouvais à peine me retenir à ne pas l'enlacer.

Un sourire éclatant se grava sur son visage lorsqu'il apercut ma conscience. J'eus encore plus de mal à ne pas le lui rendre, et fit la Belle au Bois Dormant qui se réveillai après avoir eu le baiser de son prince charmant. Je m'assis sur le lit, et il me dit :

-Vous vous sentez bien? Avez-vous mal quelque part?

-Non, pas du tout. Je me sens parfaitement bien.

J'affichai un aussi grand sourire qu'Aspen. D'accord, peut-être un tout petit peu plus petit qu'elle, mais presque. Tout à coup, la timidé remonta. Mes joues rougirent. Ils pris ma main, et fut étonné par sa température. Je la repris d'un geste brute et impoli, mais c'était un reflex lorsqu'un humain me toucha. Je souris encore une fois et recula un petit peu.

-Je reviens dans deux secondes pour vous examiner.

J'acquésiai et attendis qu'il sorte de la chambre. Je courrai vers la porte sans tomber (pour une fois), et je passai ma tête par celle-ci, vérifiant que personne n'était dans le couloir. Je refermis doucement la porte derrière moi, et alla vers l'ascenceur. Mais quand celui-ci s'ouvrit...

" Tu es sûre et certaine que c’est bien la chambre de ma sœur ? " me demanda Boyd.

" Non, " je devais avouer. Mais il y avait quand même une grande chance. " Mais on aura au moins essayer. "

J’appuyais fortement sur le boutons de la deuxième étage. Normalement, se serrait Noah qui l’aurait fait – le grand garçon – mais j’étais trop pressée pour m’en apercevoir. Tout ce qui était sale et où ce que j’avais pas la chance de le nettoyé, je préférais éviter. Les toilettes commun on été une des horreurs de ma vie depuis toujours. C’était exactement la même chose pour les boutons d’ascenseur. Noah n’avait pas de problème avec sa, du tout ! Il trouvait sa justement marrant.
L’ascenseur se mit en route avec beaucoup de bouscule et très lentement. Les deux géants qui m’accompagnaient dans cette machine, prenaient tellement de place qu’ils devaient baisser leur têtes a ne pas les cogner. Vachement marrant a voir.

" C’est vrai. " Noah disait soudainement.

" Qu’est-ce qui est vrai ? "

Des fois il pouvait être tellement… incompréhensible. Il disait des trucs, dont j’avais au moins besoin quelque minutes avant m’apercevoir ce qu’il avait dit. Je n’étais pas la seule a trouvé ça. Mes parents, et ses amis penseraient ainsi. Le pauvre. Tout le monde contre lui.

Mais quand Boyd commença a rigoler quand il voyait mon ignorance, je compris qu’il y avait quelque chose dont je n’étais pas au courrant. Noah lui donnait un coup, et me donna un clin d’œil. Qu’est-ce qu’il lui avait encore dit ? C’était un de ces moments où il essayait de prendre sa revanche pour tels trucs que je lui avait fait. En m’humiliant.
C’était horrible et lâche en même temps. Utiliser les défauts d’autres, pour son propre bien ! J’allais le tuer !

" Quoi ?! " je demandais légèrement sur mes nerves.

" Tu le sens donc pas ? " Noah me demanda.

" Non. Que devrais-je sentir ? "

" Love is in the air ! " marmonna Boyd. " A mon avis, ma sœur ne veut pas vraiment être « sauver ». "

C’est dès ce moment là, que je comprenais. Ce n'était pas de moi que Noah avait parler, mais de Maelys. Qu’avait-elle donc fait ? L’adrénaline et la sensation que je sentais y a quelque minutes, n’était pas la mienne. Elle appartenait a une fille qui était en de gros problème…
L’ascenseur s’ouvra soudainement après le signale que nous donna l’appareil. Juste au moment ou je mettais mes pieds au dessus du bord de fer, je vue une autre paire de pieds. Des petits pieds qui portait le corps de la fille qui on essayait de faire évader. Maelys.

" Mon Dieu, qu’est-ce que tu fous là !? "

Sans questions, ou sans regards, je la tirait directement dans l’ascenseur avec nous. Noah avait le bon reflex d’appuyer sur le bon bouton – Dieu merci – et l’ascenseur se re-déplaça.

" Tu crois qu’ils vont nous laisser passer sans problème avec Maelys ? " chuchota mon frère avant tout.

Malheureusement, je ne connaissais pas encore la réponse. Malheureusement…

J'attendais que la porte s'ouvre. Au-dessus des portes s'affichait en rouge ''Floor1''. Et juste quand les portes s'apprêtaient à s'ouvrir, je me rendis compte qu'il était possible que ce soit mon Docteur Charmant qui était dans l'ascenceur. Heureusement, ce n'était pas lui mais, ... Aspen ?!

-Mon Dieu, qu’est-ce que tu fous là !?

Je n'eus même pas le temps de sauter de joie qu'elle me tira dans l'ascenceur. Noah appuya sur le bouton et on descendit au rez-de-chaussée. Il chuchota quelque chose à l'oreille de sa soeur alors que je me précipitai pour enlacer mon frère. C'était comme si je ne l'avais plus vu depuis des années...

-M*rde!! J'ai oublié mon porte-feuilles

-Et alors? Ce n'est pas si grave, Maelys, calme-toi!

répondit mon géant de frère. J'étais morte d'inquiétude. Mon frère ne comprenait rien. La différence entre lui et moi, c'est que moi je pense au conséquences de mes actes, mais lui non. M*rde!

-Pas grave?? Mais tu ne te rends pas compte! S'ils ont mon porte-feuilles, ils savent qui je suis, oùj'habite, et tout et tout! Ils vont revenir... Il faut qu'on aille le chercher!

-Oh mais, t'es conne aussi! Comment pouvais-tu l'oublier?

Diing. L'ascenseur était arrivé. Je regardais Aspen, Boyd, puis Noah. Comme Noah était le plus vieux, je trouvais que c'était lui qui devait décider. Boyd et moi le regardions avec impatience. Je ne voyais ce qu'Aspen faisait, car elle était derrière moi. Noah regarda la lampe au dessus de nos quatre têtes. Lentement il se gratta le cou, et dit : [i]

-Allez les gars! On y retourne!

Il appuya sur le bouton du deuxième étage, et nous remontîmes. Un deuxième ''Diing'' retentit. Les portes s'ouvrirent. Je vis la tenue de mon Docteur Charmant. Ensuite, j'aperçus sa carte.

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Dr. Mike Scavo (stagiaire)
Urgences
Bureau : 127
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J'arrivai juste à temps à me cacher derrière les trois géants. Ils avaient du mal à me cacher et à contourner le docteur, et encore à sortir d'une façon ''normale'' de l'ascenceur. Dés que les portes se refermèrent, je me précipitai vers ma chambre. J'entrai, et pris mon porte-feuille. La fenêtre s'était rouverte. Soudain, je flairai quelque chose. Cela puait énormément. Ensuite je reconnus l'odeur. Mes pieds se clouèrent au sol, mes mains se changeaient en statues. Je sentais ... des Vampires.[/color]

" M*rde!! J'ai oublié mon porte-feuille ! " Sonna la petite voix de Maelys dans ma tête.

Portefeuille. Portefeuille… Je respirais lentement. Presque tellement lentement que j’oublias de respirer. Pas un grand problème, je peux le retenir plus d’une minute, mais quand même…

Qu’est-ce qu’il y avait de si important a ce portefeuille ? J’entendis pas
vraiment le reste de la conversation. A vrai dire, je ne l’avais même pas
suivie. Mon esprit ce tenait complètement a réfléchire au portefeuille.

"…Il faut qu’on aille le chercher ! "

Son frère la regarda étonné. Il lui répondait assez méchamment :

" Oh mais, t’es conne aussi ! Comment pouvais-tu l’oublier ? "

Les regards entre frère et sœurs continuèrent encore un petit moment. Jusqu’à ce que l’ascenseur décida que le trip devrait ce terminer. Le regard de Maelys plongeait dans mes yeux, et les quittèrent pour celui de son frère.

" Allez les gars, on y retourne ! " mon frère cria. Il avait l’air trouver tout cela très amusant.

Dans les moindres minutes on était de nouveau à la deuxième étage. Sans même l’apercevoir, mon frère et Boyd se placeraient devant Maelys à fin que le docteur – pas terrible pour un humain – ne pourrait pas la voir. A mon tour je me retrouvait derrière elle. Quel cirque !

La petite – enfin, bref, façon de parler – asiatique courrait vite vers ce
qu’on pouvait appeler sa chambre. J’éspèrais vite sortire de cette endroit, car il ne me plaisait pas du tout. Quelque chose de sombre vivait ici. La mort, la maladie… Ce n’était pas un endroit où quatre loups-garou devaient se trouver.

Quand après un moment, la fille n’était toujours pas revenue, son frère
commença légèrement a s’inquiété.

" Bon, qui va voir se qu’il se passe ? "

" Aspen ? " demanda mon frère avec un sourire angélique. " Peut-être qu’elle a des problèmes de filles. "

Bien sûre. Une excuse que seule des garçons pas digne d’être appeler intelligent pourraient utilisé tel excuse. Mais je n’avais pas envie de discuter, et encore moins de traîner ici le plus longtemps.
Donc, je me précipitais dans la chambre…
Là, Maelys avait tourné son dos vers moi. Elle ne bougeait pas du tout. Aucun signe de vie. Pourtant, elle avait bien retrouver son portefeuille, bien placé entre ses mains.

Je m’avançais d’un pas, quand je reniflait une odeur horrible dans mes narines. Une odeur encore jamais senti. C’était nouveau.
Je voulais foncé dans les murs, courir hors de la fenêtre, crier… Mais rien ne se passait. Au lieu de sa, un grognement fort et brusque sortait de mes
poumons. Je sentais mon corps se transformer. Ma tête était autre part, c’était bien trop difficile de retrouver mes pensées.
Je me retrouvais dès maintenant a quatre pattes poilues sur le carrelage de la chambre. Mes habits déchirer en quelques morceau – ou chiffons – à mes côté. J’avais horriblement mal, mais j’arrivais pas a m’exprimer assez. J’en était sûre et certaine que Noah l’avait senti aussi. Car j’entendais des lourds pas rentrer dans la chambre… Une chambre, avec une bestiole que je détestais tellement être. Moi-même.

Spoiler:

Des larmes chaudes -comme par hasard- coulaient sur mes joues encore plus chaudes. Mes genoux ne me tenaient presque plus. J'eus du mal à garder ma forme humaine, mais je sus me contrôler. J'entendis quelqu'un rentrer dans la chambre. Aspen était en train de se transformer. Je n'avais même pas besoin de regarder pour le savoir. Une deuxième personne se rua dans la chambre et je me retournai en murmurant vers un ''humain'' et un énorme loup :

-Des Vampires...

Noah regarda sa soeur et commençai à ramasser les vêtements dont le destin était devenu chiffon pour les mettre à la poubelle. Sans réfléchir, je l'aidai en veillant à ne gêner personne.

-On doit les suivre, mais d'abord, sortons d'ici. Maelys, j'appelle ton frère, dis à Aspen de se calmer et qu'elle reprenne sa forme humaine. On se retrouve devant l'hosto. dit Noah d'un ton sec.

Dans le genre! Comme si moi, si petite et si pessimiste, arriverait à faire reperendre la forme humaine à un loup-garou?! Noah quitta la chambre et je me retrouvai seule avec une immense bête. Génial.

Je m'approchai d'Aspen, et caressa son torse. Ses poils étaient longs et obscurs, mais très doux et fins. Ses yeux jaunes-brun étaient plein de violence, et très effrayants. Ses larmes recommencèrent à couler, et elle baissa la tête en regardant ses petits pieds. Elle se mit sur la pointe des pieds pour murmurer à l'oreille de la louve :

-Ca ira, calme-toi... Ca ira.

Et doucement elle posa sa tête sur les poils doux en espérant qu'Aspen ne réagisse pas de façon repoussante. Mais surtout ne espérant qu'elle reprenne sa forme humaine et que dans quelques heures, les Sangsues seront éliminées...

Les chuchotements venairent très vite. Maelys essyait de me calmer, en me carréssant les poiles.

" Ca ira, calme-toi... Ca ira. "

Les muscles de mon corps, en tant que loup, se distraîrent. Je clignotais des yeux, et leva mon nez. Cette odeur n'avait toujours pas disparu ! Maelys, maitenant avec sa tête sur mon corps, avait un regard bizarre dans ses yeux. Elle fesait de son mieux de suivre les ordres que mon frère avait donné, mes elle désirait quelque chose d'autre... A mon avis, elle voulait que cette odeur s'ennaye au plus vite, juste comme moi. Je me redressais lentement en poussant Maelys au côté. Le carlage sentait fraîs sur mes longes pattes musclées. Je me concentrais, et reprennais aussi vite ma forme humaine. En quelques secondes, j'avais tirer une éspèce de robe qu'avait les patients de l'hôpital, et la mettais aussi vite. Je devais avouer, que ce n'était pas agréable du tout. Je me sentais nu, et observé. Quand je retournais ma tête vers la fille, je n'avais aucune idée que mes yeux était toujours rempli de rage.

" On va aller tuer ces sangsues. " je m'exprimais. " Tu m'aides, Maelys ? "

Bien sachant que Sam, Noah et sûrement Boyd ne serraient pas très heureux de ma desicion. Mais j'étais tellement convaincue de faire du bien...
Je m'avançais vers la fenêtre, et regardais par enbas. C'était bien trop haut pour sauter sans se faire de mal, mais mon corps était remplis d'adrenaline et de colère. J'étais prête à tout. Avec un bras je me soulevait facilement. Mes longues jambes se tendèrent, et je sautais dans le vide. J'avais un peu oublier Maelys. Qu'aurait-elle pensée ? J'ignorais si elle me suivait. J'étais bien trop concentré sur mon but pour cela.
Quand enfin, je touchais le sole, j'eu un mal arrachent dans le dos. Avec ma main gauche je tennais fort mon dos.
Mon désire de me retransformer était grand. Ca aidera a calmer le mal de dos. J'avais quelques égratinures, mais je savais que dans quelques secondes, on les verra plus tout de même. Mon désire était grand, mais d'abord, je voulais savoir qui était avec moi...

Spoiler:

-Nooon!

C'est ce que j'avais crié lorsqu'Aspen était sautée par la fenêtre. *Elle est folle, elle va se faire m...* avais-je pensé *ah juste. Nous sommes une bande de sales clébards.* J'avais oublié pendant un moment que nous étions une bande de monstres impitoyables, effrayants et violents. En vérifiant l'absence de monde dans le parc et autour de l'hopital, je le lançai dans le vide. J'essayai de tenir mes bras horizontalement dans le but d'ammortir la chute, ainsi que d'écarter mes genoux pour ne pas me les prendre dans le nez. Je tombai à quelques centimètres d'Aspen, et je me mis à rire. Je n'arrivais pas à le croire. Je riais, alors que j'étais sautée d'une fenêtre à une dizaine de mètres. Je me relevai, puis pe retourna vers l'autre louve-garou.

-Allons les éliminer.

Oui. C'est dont j'avais envie. Eliminer les buveurs de Sang. Je flairai les odeurs cadavériques à mon goût et les suivit immédiatement. A coté de celles-ci se ruaient deux odeurs dont l'envie de vomir était absente : les odeurs de mon imbécile de frère, et l'odeur de Noah, que j'aimais un peu plus que celle des autres loups...

Je me mis à courrir, sans vérifier qu'Aspen était derrière moi, suivant le mélanges de toutes ces odeurs. Au loin, j'aperçus deux gignatesques silhouettes, celles de Noah ... et celle de Boyd aussi bien sûr.

En remarquant que j'allais hyper lentement, je me rendis compte que j'avais toujours ma forme humaine, et ne tarda pas à remplacer mes cheveux par des poils mi-longs. Mes jambes devinrent des pattes très fines, et mes yeux prirent une couleur encore plus noires que d'habitude. Mes habits se déchirèrent et retombèrent sur la route. Je savais que j'étais une des loups-garous les plus rapides, et je profitait de ma vitesse.
Je connaissais bien, peut-être trop bien mes qualités de monstre.

Je ne pris pas deux heures à approcher Boyd et Noah et aperçut à mon tour les deux Sangs-Froid au loin, qui dégageaient une odeur qui me donna la nausée. Je secouai la tête pour empêcher mon odorat d'identifier la puanteur.

J'aurais voulu regarder derrière moi pour voir ou était Aspen, mais j'avais pas envie de ralentir ma course. Au loin, une grosse branche s'étalait sur la route. La première Vampire l'enjamba sans problèmes, mais la deuxième ne l'avaient pas aperçu, mais je ne la vis que se relever, car elle le fit tellement vite. Elle se figea.

*Mais elle est folle ou quoi? Elle veut vraiment qu'on la tue?!*pensais-je dans ma tête de monstre. Je retournai ma tête vers Boyd, puis vers Noah qui avaient la même expression interrogative sur le ''visage''. Ensuite, je me retournai pour voir si Aspen nous avait rattrappé, même si j'étais quasi sûre qu'elle l'avait déjà fait...

Une grande folle courrait devant moi. Je n'aurais jamais pensé qu'elle allait courire aussi vite, pas du tout. A mon avis, elle pouvait facilement battre mon frère. Ces dernières secondes, beaucoup de trucs se sont passé. Les changements d'apparences, les reagards obscures, et la puanteur qui s'évoluai avec la moindre seconde. Maelys était une louve plutôt fine. Petite - pour un loup-garou, mais immense pour un humain.
J'avais vite rattraper la meute. Mon désire de déchirer ces sangsues en mille morceau était bien plus forte que la capacité de kilomètre par heure que je pouvais atteindre. Chacun était dans son élément.
C'était magnifique de sentir le vent frotter les poiles pendant qu'on courrait comme des fous. Un sentiment que je ne regrettais pas avoir.

Le plus près qu'on arrivait vers le petit bush en façe de l'hôpital, le plus vite qu'on allait. Mais après un moment, je me demandais quand même ce que foutait Maelys. Au lieu d'accéléré, elle avait ralentie.

* Mais elle est folle ou quoi ? Elle veut vraiment qu'on la tue ?! *

* De qui est-ce que tu parles ? *

J'avais envie de le crier, mais c'était un peu trop difficile de faire cela en milieux de mes pensers. Oui, en tant qu'animal - bref, béstiole - on pouvait bien lire les penser d'autres camarades. Pratique, mais inpratique aussi. Pour ne pas dire horrible...

* Vampire sur la route ! * entendais-je dire une autre voix.

Et la voix qui avait résonné dans ma tête, avait raison. Devans nous se retrouvais une jeune - hum, hum - femme, par terre avec un sourir sur ses lèvres. Ou était-ce juste moi ? Elle était belle, mais a cause de l'horreur que j'avais envers cette créature je ne voyait que une moche personne.

* Mon Dieu, elle pue encore plus que les chausettes à Noah ! * pensais-je.

* Ta gu*ule, Aspen ! *

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» Where shall we go? [fini]
» La neige [fini]
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